«Les clients de Monoprix peuvent faire leurs courses sur le site Internet de la marque. A contrario, LDLC, commerçant de produits high-tech en ligne, a ouvert sa première boutique physique à Lyon dès 1998, et compte développer un réseau de distribution, en franchise, sur le territoire. Ces exemples croisés illustrent combien les frontières sont aujourd’hui ténues entre les canaux de vente physiques et numériques. Et cela ne fait que commencer…»
Multi-canal, cross-canal, complémentarité, quel que soit le vocabulaire utilisé, je le dis et le redis, l'objectif pour tout commerçant devrait être une expérience utilisateur la plus fluide, simple et pratique possible quel que soit le lieu physique ou virtuel où il achète des produits qui eux n'ont rien de virtuels.
Surtout avec les frontières floues que dessine désormais le mobile.
« Le mobile est l’outil de demain qui va définitivement effacer la notion de canal, car on peut l’utiliser partout », analyse Gauthier Picquart (co-fondateur de Rueducommerce.com). Les professionnels se sont déjà emparés de cet outil. Chez Monoprix, on explique que l’application sur smartphone qui permet de faire ses courses contribue déjà largement au chiffre d’affaires en ligne.»
Et si la simple question de qui gagnera le duel entre commerce traditionnel et e-commerce n'avait bientôt plus de sens, ni de légitimité à être posée ? Il y a deux ans, je parlais déjà de chanel- agnoticism ...
A méditer ...
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